Ce que vous mangez la veille peut fausser un examen médical : les erreurs à éviter absolument !

La veille d’un examen médical, l’esprit est souvent concentré sur l’heure du rendez-vous, le stress ou la paperasse administrative. Pourtant, un détail capital est fréquemment négligé : le contenu de votre assiette. Or, ce que vous mangez ou buvez avant une prise de sang, une échographie ou un bilan de santé peut avoir un impact direct sur les résultats. Certains aliments perturbent les dosages biologiques, d’autres modifient la digestion ou les taux hormonaux. Cela fausse alors les analyses et peutentraîner des diagnostics erronés . Il ne s’agit pas seulement de jeûner ou d’éviter l’alcool, mais de connaître les pièges alimentaires bien plus insidieux. Pour préserver la fiabilité de vos examens médicaux et éviter des inquiétudes inutiles, il est donc essentiel de bien choisir vos repas la veille. Voici tout ce qu’il vaut mieux éviter pour ne pas compromettre votre santé.
Évitez les repas trop gras pour ne pas brouiller les bilans lipidiques
Un repas riche en graisses , même consommé la veille au soir, peut fausser plusieurs résultats sanguins. En effet, les lipides restent longtemps en circulation dans l’organisme, influençant directement le taux de cholestérol et de triglycérides. Les plats industriels, les sauces riches, les fritures et les viandes grasses alourdissent la digestion et modifient la composition du sang, ce qui peut faire apparaître des valeurs élevées sans que cela ne corresponde à votre état habituel. Le foie est alors mobilisé pour traiter cet excès, ce qui impacte aussi les enzymes hépatiques. Ainsi, un simple dîner copieux peut conduire à des résultats alarmants alors qu’ils ne reflètent pas une pathologie réelle. Il est donc préférable d’opter pour un plat léger, sans matière grasse ajoutée , afin de ne pas brouiller les marqueurs lipidiques.
Modérez les fibres pour ne pas perturber votre système digestif avant l’examen
Bien que les fibres soient essentielles à une alimentation équilibrée, elles ne sont pas recommandées en excès juste avant un examen médical. Une grande consommation de crudités , de légumineuses ou de céréales complètes peut provoquer ballonnements, fermentation intestinale et inconfort digestif. Ces troubles modifient la motilité de l’intestin et peuvent également nuire à l’absorption de certains nutriments ou médicaments, rendant certains bilans biologiques moins fiables. Par ailleurs, les gaz intestinaux peuvent gêner les examens d’imagerie comme l’échographie abdominale. Pour éviter ces désagréments, il vaut mieux privilégier des légumes cuits et des portions modérées, en attendant d’avoir passé vos tests pour retrouver votre alimentation fibreuse habituelle.
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Attention au sucre caché dans certains aliments du quotidien : terrible notamment avant une prise de sang
Un autre piège souvent sous-estimé réside dans les glucides, notamment ceux à index glycémique élevé. La consommation de riz blanc, de pain ou de pommes de terre en grande quantité avant un prélèvement peut fausser le dosage du glucose sanguin. Ce phénomène est particulièrement important si vous devez passer un test de glycémie à jeun ou un examen de tolérance au glucose. De plus, certains aliments industriels et boissons transformées contiennent du sucre caché , comme les jus de fruits, les yaourts aromatisés ou les sauces du commerce. Ces produits, même consommés quelques heures avant le coucher, peuvent prolonger une hyperglycémie et compliquer l’interprétation médicale. Pour éviter ces biais, mieux vaut opter pour un repas simple et peu sucré la veille, et respecter scrupuleusement les consignes de jeûne lorsque requis.
Évitez les excitants et les boissons diurétiques ou alcoolisées la veille d’un examen médical
La consommation d’ alcool , même modérée, altère la qualité des analyses. Il agit sur le foie , le pancréas et les reins et perturbe l’équilibre hydrique de l’organisme. Un verre de vin ou de bière la veille peut suffire à modifier les résultats des gamma-GT, des transaminases ou du taux d’urée. L’effet est d’autant plus marqué si l’alcool est associé à un repas riche. Par ailleurs, le café , le thé ou les boissons énergisantes peuvent également interférer avec certains dosages hormonaux ou tensionnels. Ces stimulants augmentent le rythme cardiaque et peuvent masquer un état de fatigue ou une tension basse. Ils provoquent également une déshydratation légère , tout comme les boissons diurétiques, ce qui peut concentrer artificiellement certains éléments dans le sang. Pour préserver la neutralité de vos résultats, il convient donc de limiter au maximum ces boissons la veille de votre rendez-vous médical.
Méfiez-vous des compléments alimentaires et des produits “naturels” avant votre examen
Nombreux sont ceux qui consomment des compléments à base de plantes, de vitamines ou de minéraux sans penser à leurs interactions possibles avec les examens médicaux. Pourtant, ces produits influencent parfois les taux hormonaux , les marqueurs hépatiques ou le fonctionnement rénal. Par exemple, la vitamine C peut fausser certains dosages urinaires, le ginseng ou le millepertuis peuvent modifier la tension artérielle ou l’activité enzymatique. Même les compléments à base de magnésium ou de zinc peuvent altérer les résultats en cas de dosage précis de ces oligoéléments. Mieux vaut donc éviter toute prise de complément la veille de votre examen, à moins d’une consigne contraire de votre médecin. Cette précaution limite les risques de surinterprétation et garantit une meilleure objectivité dans l’évaluation de votre état de santé.
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Un dîner léger et neutre : le meilleur choix pour un examen fiable
Finalement, ce qu’il faut viser, c’est un repas discret et digeste, sans excès de sucre, de graisse ou de fibres. Un peu de riz blanc avec des légumes cuits à la vapeur , un filet de poisson maigre ou une soupe légère constitue un bon compromis. Il est aussi important de ne pas dîner trop tard et de respecter un délai suffisant avant l’heure de l’examen. En général, on vous demandera huit à douze heures de jeûne à respecter scrupuleusement. Cette sobriété alimentaire permet à votre organisme d’être dans un état stable et neutre au moment de l’analyse, sans influence par les aléas de la digestion ou les pics hormonaux. Un simple écart, même bien intentionné, peut déclencher un faux diagnostic et mener à des examens supplémentaires inutiles. Prendre soin de votre assiette, c’est aussi prendre soin de votre santé.
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Gluten caché : ces aliments insoupçonnés et vraiment étonnants qui piègent même les plus vigilants !
Le gluten est partout, parfois même là où on l’attend le moins. Pour celles et ceux qui souffrent d’une intolérance, d’une maladie cœliaque ou qui souhaitent simplement limiter leur consommation, le danger ne vient pas toujours des pains, pâtes,tortillas ou gâteaux. En réalité, de nombreux produits que vous consommez peut-être au quotidien contiennent du gluten sous une forme masquée. Derrière des appellations trompeuses, des sauces anodines ou des plats préparés du commerce se cachent parfois des traces de blé, d’orge ou de seigle. Même dans des produits que l’on pense naturellement sans céréales, ce composant peut s’infiltrer au gré des procédés industriels ! Pour éviter les erreurs et mieux comprendre ces pièges alimentaires, il est essentiel de savoir où le gluten peut se loger discrètement. Voici donc un tour d’horizon des aliments qui contiennent du gluten caché à surveiller de près.
Les sauces toutes prêtes, bouillons et condiments : des bombes de gluten
Les sauces industrielles, même les plus classiques comme la sauce soja ou les vinaigrettes crémeuses, peuvent contenir du gluten. La raison ? L’amidon de blé est fréquemment utilisé pour épaissir ces préparations. La sauce soja traditionnelle est souvent fermentée avec du blé, sauf dans ses versions tamari garanties sans gluten. Les bouillons cubes , sauces en poudre, fonds de veau ou de volaille et même certains assaisonnements liquides peuvent également en contenir. Dans ces produits, le gluten est souvent caché derrière des termes comme “protéines végétales hydrolysées” ou “amidon modifié”. Il faut donc rester particulièrement vigilant, même face à des ingrédients réputés simples.
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Les charcuteries et produits carnés transformés
On ne s’en doute pas, mais certaines charcuteries industrielles contiennent bel et bien du gluten. Il ne s’agit évidemment pas de la viande elle-même, mais plutôt des additifs, liants ou épaississants utilisés pour améliorer la texture ou la conservation du produit. Dans les saucisses, pâtés, rillettes, jambons reconstitués ou encore certaines boulettes de viande, les industriels ajoutent souvent des extraits de blé ou de céréales. Le gluten se dissimule aussi dans les marinades ou les panures ajoutées à certaines viandes préparées. Une lecture attentive des étiquettes s’impose, car l’allergène ne porte pas toujours une signalétique claire, surtout dans les produits importés.
Les frites, chips et autres encas salés : du gluten à tout va
Les frites semblent inoffensives, surtout lorsqu’elles sont à base de pommes de terre. Pourtant, dans le secteur industriel, on les enrobe parfois de farine contenant du gluten avant la cuisson afin d’obtenir une texture croustillante. Ce phénomène s’observe aussi avec certains chips aromatisés, sticks soufflés, crackers apéritifs ou tortillas au fromage. Les arômes artificiels, poudres d’épices ou exhausteurs de goût intégrés dans ces snacks peuvent inclure du gluten de manière indirecte. Cela peut même concerner… les cacahuètes grillées à sec ou les noix enrobées ! Un produit apparemment basique peut ainsi se transformer en piège pour les personnes sensibles.
Les produits laitiers transformés
Si le lait, le fromage nature ou le yaourt sans ajout sont sans gluten par nature, certains produits laitiers aromatisés ou allégés peuvent en contenir. C’est notamment le cas des yaourts aux fruits avec morceaux, des crèmes dessert industrielles, des flans ou des fromages à tartiner. Le gluten y est parfois présent sous forme de liants, gélifiants ou arômes artificiels, notamment dans les versions allégées ou riches en additifs. Même certains laits végétaux aromatisés ou les glaces industrielles peuvent en contenir, surtout lorsqu’ils comportent des inclusions (biscuit, pâte à cookie, croustillant). Il est donc préférable d’opter pour des versions simples et non modifiées.
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Le chocolat et les confiseries
Le chocolat noir pur, en théorie, ne contient pas de gluten. Cependant, dès que l’on s’oriente vers des tablettes fourrées, du chocolat au lait ou des barres chocolatées , le risque augmente considérablement. Certains fourrages intègrent des biscuits ou du malt, riche en gluten. Par ailleurs, de nombreuses confiseries industrielles utilisent des arômes ou sirops contenant des dérivés céréaliers , en particulier dans les bonbons acidulés, les dragées fourrées ou les produits chewing-gums. Les risques de contamination croisée en usine sont également élevés. Mieux vaut donc se méfier des sucreries non étiquetées “sans gluten”.
Les plats préparés et conserves cuisinées
Ces produits, souvent pratiques, sont aussi parmi les plus piégeux. Qu’ils soient sous forme de conserves, surgelés ou en barquette micro-ondable, les plats tout prêts cachent fréquemment du gluten. Pâtes à tartes, sauces, enrobages croustillants, farces ou même purées instantanées peuvent intégrer de la farine de blé ou de l’amidon de céréales. Cela concerne aussi bien les gratins, quiches, lasagnes que les plats exotiques comme les currys ou les tajines. Les industriels utilisent souvent des bases de roux ou de sauces standardisées contenant du gluten, même pour des recettes qui n’en nécessitent pas naturellement.
Les céréales du petit-déjeuner et barres énergétiques
On pourrait croire que cela concerne seulement les céréales à base de blé, mais même certaines céréales dites “sans blé” peuvent contenir du gluten par contamination croisée ou ajout de malt. Le sirop de malt d’orge est notamment un ingrédient courant dans les céréales soufflées, granolas ou barres énergétiques. Quant aux mueslis aux fruits secs ou aux flocons d’avoine, ils peuvent aussi présenter des traces (sauf en cas de certification “sans gluten”). Il est donc crucial de vérifier les étiquettes de ces produits !
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La bière, le vinaigre de malt et certaines boissons
La bière, élaborée à partir d’orge, contient naturellement du gluten. Même les bières dites “légères” ou artisanales n’y échappent pas. De même, le vinaigre de malt, souvent utilisé dans les marinades, sauces ou pickles, contient des traces non négligeables de gluten. Certaines boissons énergétiques, sirops ou cocktails aromatisés peuvent aussi en comporter, notamment s’ils utilisent des arômes extraits de céréales ou du caramel colorant. Le gluten est alors présent sous une forme peu évidente mais potentiellement problématique.
Les compléments alimentaires et médicaments : LA source insoupçonnée de gluten par excellence
Enfin, même hors du cadre alimentaire, certains comprimés, sirops ou compléments peuvent contenir du gluten comme agent liant ou enrobage. Cela vaut pour les vitamines, les probiotiques, les médicaments en gélules ou les pastilles à sucer. Le gluten peut apparaître sous des formes comme “amidon de blé” ou “dérivés d’amidon”, ce qui le rend difficile à identifier. Consultez donc attentivement les notices ou de se tourner vers des versions garanties sans gluten pour éviter toute mauvaise surprise.
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Bons pour la santé… sauf le soir : ces aliments pourtant sains peuvent totalement gâcher vos nuits !
On pense souvent bien faire en grignotant une poignée d’amandes ou en croquant une tomate avant d’aller dormir. Pourtant, certains aliments réputés sains peuvent sérieusement perturber la digestion etcompromettre la qualité du sommeil . Cela ne signifie pas qu’ils sont mauvais en soi, simplement qu’ils ne sont pas forcément adaptés à une consommation tardive. Le soir, notre métabolisme ralentit et nos organes digestifs fonctionnent différemment. Certains produits pourtant riches en nutriments peuvent alors provoquer des reflux, des ballonnements ou stimuler le système nerveux. Le résultat ? Un sommeil agité, des réveils fréquents ou une sensation de lourdeur au réveil. Pour préserver ses nuits, il est essentiel d’identifier ces faux amis de l’assiette du soir . Vous mangez peut-être sainement, mais le bon moment de la journée fait toute la différence. Voici les aliments sains à éviter à l’approche du coucher.
Les agrumes : une acidité qui dérange plus qu’elle ne soigne
Les oranges, les citrons ou encore les pamplemousses regorgent de vitamine C et d’antioxydants, ce qui en fait des alliés précieux pour l’immunité. Pourtant, leur acidité naturelle n’est pas idéale en fin de journée. Elle peut stimuler la production d’acide gastrique, augmentant ainsi les risques de reflux gastro-œsophagien , surtout en position allongée. Même un simple jus d’orange, jugé rafraîchissant et détox, peut créer une sensation de brûlure ou d’irritation de l’œsophage. Si vous êtes sujet aux remontées acides ou aux douleurs à l’estomac, mieux vaut réserver ces fruits au petit-déjeuner ou à la collation de l’après-midi, moment où le système digestif est plus actif.
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La tomate : fraîche… mais redoutable en soirée
On l’aime en salade, en soupe froide ou en sauce légère sur une tartine. La tomate est légère, hydratante et pleine de lycopène , un antioxydant protecteur. Pourtant, sa consommation en soirée peut virer au cauchemar digestif. Très acide, elle favorise les brûlures d’estomac et peut réveiller des symptômes silencieux chez les personnes sensibles. Que ce soit en purée, en jus ou entière, elle fait partie des aliments qui, malgré leur profil nutritionnel exemplaire, sollicitent trop l’acidité gastrique pour être bien tolérés la nuit. Une soupe de légumes sans tomate ou une salade de courgettes grillées fera un choix plus apaisant.
Les oignons et l’ail : bons pour le cœur, mauvais pour la nuit
Utilisés crus ou cuits, l’ail et l’oignon apportent des bienfaits notables sur le plan cardiovasculaire et immunitaire. Ils contiennent des composés soufrés puissants et des prébiotiques qui nourrissent le microbiote. Cependant, ces mêmes éléments peuvent être très fermentescibles , provoquant des gaz, des ballonnements et parfois des douleurs abdominales. L’oignon cru est le plus agressif, surtout lorsqu’il est consommé sans autre aliment pour le tamponner. Même l’ail rôti peut poser problème à certains, en ralentissant la digestion. Pour un dîner léger et serein, il vaut mieux les éviter ou les réserver à des plats mijotés en journée, quand le système digestif est plus disponible.
Les poivrons : colorés, mais parfois mal tolérés
Rouge, vert, jaune… le poivron ajoute de la couleur et du croquant à nos repas. Il est riche en vitamine C, en fibres et en antioxydants. Toutefois, sa peau épaisse le rend difficile à digérer pour certaines personnes. Même cuit, il peut provoquer des éructations ou une sensation de lourdeur. Consommé en crudité ou légèrement poêlé le soir, il demande un effort digestif que l’organisme, ralenti par la fin de journée, a du mal à fournir. Si vous souhaitez en profiter, pensez à bien le peler, à le cuire longuement ou à le consommer au déjeuner.
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Les oléagineux : des gras bons, mais caloriques et lents à digérer
Noix, amandes, noisettes ou pistaches sont souvent recommandées pour leurs bons acides gras, leur teneur en protéines végétales et leurs minéraux. Pourtant, une poignée d’amandes avant de dormir n’est pas toujours une bonne idée. Leur richesse en lipides, bien que bénéfique, implique un temps de digestion plus long. De plus, leur mastication parfois insuffisante les rend encore plus difficiles à traiter pour l’estomac. Certaines personnes ressentent un ventre gonflé ou des troubles du transit durant la nuit après en avoir consommé tard. Pour le soir, un fruit doux ou un yaourt végétal peut offrir une meilleure alternative.
Les légumes verts très fibreux : bons pour le transit, moins pour la nuit
Les épinards, les brocolis ou encore les choux sont riches en fibres, en fer et en vitamines. Cela en fait des piliers de l’alimentation santé. Cependant, en soirée, leur forte teneur en fibres insolubles peut ralentir la digestion ou provoquer des fermentations intestinales. Ce phénomène peut générer des gaz ou des douleurs qui perturbent le sommeil. Un bol de soupe à base de courgette, de carotte ou de potiron, moins riche en fibres irritantes, sera mieux toléré. Privilégiez également une cuisson douce et un mixage fin pour faciliter leur assimilation tardive.
Le chocolat noir : un stimulant déguisé en aliment santé
Riche en magnésium, en flavonoïdes et en antioxydants, le chocolat noir est souvent mis en avant comme une douceur saine. Pourtant, il contient aussi de la théobromine et parfois de la caféine, deux stimulants qui peuvent retarder l’endormissement. Une consommation modérée, même d’un carré, peut suffire à activer le système nerveux de façon subtile mais réelle. Certaines personnes particulièrement sensibles peuvent voir leur nuit écourtée à cause de cette petite gourmandise pourtant saine. Mieux vaut la savourer après le déjeuner, pour une pause plaisir sans impact sur le sommeil.
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Les légumineuses : riches mais parfois trop fermentescibles
Lentilles, pois chiches ou haricots rouges sont excellents pour leur apport en protéines végétales et leur indice glycémique bas. Pourtant, leur consommation en soirée peut poser des soucis. Mal digérées, elles fermentent dans le côlon, provoquant des ballonnements persistants. Même bien cuites et rincées, elles restent longues à digérer et peuvent occasionner des troubles du sommeil si elles sont consommées à l’approche du coucher. Réservez-les à des repas de midi, en salade ou en purée, pour profiter de leurs bienfaits sans en subir les désagréments.
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Peut-on vraiment faire confiance au nouveau Nutri-Score ? Ce qui change en 2025 !
Depuis mars 2025, un nouveau chapitre s’ouvre pour le Nutri-Score. Déjà révisé en 2024, cet outil d’étiquetage nutritionnel a de nouveau été modifié afin d’affiner ses critères de calcul. L’objectif reste inchangé : orienter les consommateurs vers des choix plus sains en rendant la lecture des emballages plus transparente et plus proche des recommandations nutritionnelles officielles. Cette nouvelle mouture officialisée par arrêté introduit des ajustements importants qui vont bouleverser l’évaluation de nombreux produits. Certaines catégories alimentaires voient leur score chuter, tandis que d’autres sont revalorisées. Le lait,les jus de fruits ou les plats industriels ne seront plus jugés de la même manière. Si les industriels disposent d’un délai jusqu’en 2027 pour s’adapter, les consommateurs doivent déjà s’habituer à de nouvelles règles du jeu, censées renforcer la fiabilité du système.
Nutri-Score : une nouvelle version de l’algorithme plus sévère et plus précise
En 2025, le calcul du Nutri-Score devient plus rigoureux. Il ne s’agit pas d’un simple ajustement, mais bien d’une refonte de certains fondements de l’algorithme. Le système continue à attribuer une note de A à E en fonction de la qualité nutritionnelle globale d’un aliment, mais les critères sont redéfinis avec davantage de finesse. Les pénalités sur les sucres, le sel et les acides gras saturés sont renforcées , tout comme celles liées à la densité énergétique. En parallèle, les aliments riches en fibres, en protéines végétales ou contenant une forte proportion de fruits, légumes, légumineuses ou huiles de qualité sont désormais davantage valorisés. Cette nouvelle évaluation cherche à refléter la réalité des apports bénéfiques ou délétères de chaque produit sur la santé à long terme.
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Le lait désormais classé comme une boisson : une nouveauté de taille
L’un des changements majeurs concerne la classification du lait. Jusqu’à présent évalué comme un aliment solide, il est dorénavant considéré comme une boisson. Cette décision modifie directement sa notation. Un lait écrémé qui obtenait un score A peut désormais descendre à B, voire à C pour le lait entier. Cette requalification s’inscrit dans une volonté d’harmonisation avec les autres boissons contenant des sucres naturels ou ajoutés. Les laits aromatisés, déjà critiqués pour leur teneur en sucre, sont quant à eux parmi les grands perdants de la réforme. Cette transformation affectera particulièrement les produits destinés aux enfants et aux adolescents, où la concurrence entre boissons lactées, jus et sodas est très présente.
Les boissons édulcorées et sucrées fortement pénalisées par le Nutri-Score 2025
Les nouvelles règles imposent un regard plus critique sur les boissons sucrées. Jus de fruits, sodas, thés glacés ou boissons « light » sont plus sévèrement évalués. Même les produits contenant des édulcorants sont désormais pénalisés, pour éviter de fausser la perception du consommateur qui pourrait croire à tort qu’un produit « sans sucre » est forcément sain. Un soda édulcoré auparavant classé C ou D peut maintenant descendre à E. Ces changements visent à réduire la consommation globale de boissons industrielles sucrées ou aromatisées, en cohérence avec les recommandations de santé publique.
Les produits ultra-transformés en ligne de mire du nouveau Nutri-Score
L’algorithme 2025 ne prend toujours pas directement en compte le niveau de transformation des produits, mais les critères révisés accentuent les écarts entre produits bruts et ultra-transformés. Ceux qui cumulent additifs, matières grasses de mauvaise qualité, sucres cachés et faible teneur en fibres voient leur note chuter mécaniquement. Certains plats préparés, pizzas industrielles, sauces prêtes à l’emploi ou céréales sucrées pourraient ainsi perdre une à deux lettres sur leur étiquette. L’objectif est d’encourager les consommateurs à se tourner vers des alternatives plus simples et mieux équilibrées d’un point de vue nutritionnel.
Les huiles de qualité et produits végétaux mieux notés
À l’inverse, certains produits longtemps pénalisés retrouvent une place plus juste. Les huiles végétales riches en acides gras insaturés , comme l’huile d’olive ou de colza, bénéficient désormais d’un meilleur classement. Leur densité calorique reste élevée, mais leur composition en bons lipides leur vaut enfin une valorisation dans le calcul. De même, les légumes secs, les fruits oléagineux non salés ou les produits végétaux peu transformés affichent une nette amélioration de leur score. Cela pourrait favoriser une plus large adoption des régimes à base de plantes, sans pour autant culpabiliser la consommation raisonnée de graisses de qualité.
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Mise en rayon : un déploiement progressif jusqu’en 2027
Les industriels ont jusqu’en mars 2027 pour adapter les emballages à cette nouvelle version. Certains produits intègrent déjà le Nutri-Score 2025, souvent accompagné d’une mention « nouveau calcul » pour le distinguer de l’ancien. Pendant la période transitoire, il est donc possible de trouver dans un même rayon des produits similaires affichant des scores différents selon l’algorithme utilisé. Cette cohabitation provisoire exige de la part des consommateurs une vigilance accrue. Il faudra apprendre à reconnaître la version affichée pour interpréter correctement la note.
Une information plus fiable, mais toujours partielle
Avec ces évolutions , le Nutri-Score devient plus cohérent avec les recommandations nutritionnelles modernes , notamment celles qui visent à lutter contre les maladies chroniques liées à l’alimentation. Il permet de mieux différencier les produits en fonction de leur intérêt nutritionnel réel, et non seulement de leur taux de sucre ou de graisse. Toutefois, le système conserve ses limites. Il ne prend toujours pas en compte la présence d’additifs, de pesticides ou la qualité biologique des ingrédients. C’est donc un outil utile, mais à combiner avec une lecture attentive de la composition et un regard critique sur la liste des ingrédients.
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Le saviez-vous ? Certains fruits riches en protéines rivalisent avec les aliments protéinés classiques
Lorsqu’on pense auxprotéines , ce sont souvent les viandes, les œufs ou les légumineuses qui viennent immédiatement à l’esprit. Pourtant, certains fruits peuvent eux aussi jouer un rôle non négligeable dans l’apport protéique quotidien. Certes, ils n’en sont pas les sources principales, mais ils peuvent compléter efficacement un régime alimentaire varié, notamment pour ceux qui suivent un mode de vie végétarien, végan ou simplement plus équilibré. Leurs fibres, leurs antioxydants et leur teneur en micronutriments en font des alliés intéressants pour la santé globale. Mais parmi les nombreux fruits qui garnissent les étals, lesquels se distinguent réellement par leur richesse en protéines ? À travers cet article, vous allez découvrir que certaines variétés parfois oubliées ou méconnues peuvent surprendre par leur composition. Un bon moyen de diversifier ses apports sans sacrifier le plaisir gustatif !
L’avocat, un fruit à la richesse en protéines insoupçonnée
L’avocat fait figure d’exception dans le monde des fruits . Contrairement à la majorité de ses cousins, il contient une part notable de lipides et offre aussi une bonne quantité de protéines pour un fruit. En moyenne, 100 grammes d’avocat apportent environ 2 grammes de protéines. Cela peut sembler modeste, pourtant, combiné à sa teneur en fibres et en acides gras monoinsaturés, cela en fait un aliment rassasiant et très utile dans une alimentation végétale. En l’intégrant dans une salade, un smoothie salé ou même en tartinade, il participe à équilibrer l’assiette sans recourir à des produits d’origine animale. Sa texture onctueuse et sa capacité à s’associer facilement à d’autres aliments lui confèrent une place privilégiée dans de nombreuses cuisines du monde.
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La goyave, un concentré de nutriments et de protéines
Parmi les fruits tropicaux, la goyave mérite une attention particulière. Ce petit fruit à la chair parfumée et sucrée affiche une teneur en protéines remarquable, avoisinant les 2,6 grammes pour 100 grammes. Elle dépasse ainsi de loin la plupart des fruits traditionnels consommés en France. Riche en vitamine C, elle combine aussi des propriétés antioxydantes puissantes à une contribution protéique précieuse pour ceux qui cherchent à équilibrer leur apport sans recourir à des compléments. Sa consommation peut se faire aussi bien crue, en jus, en compote ou intégrée à des desserts maison. Elle reste toutefois plus rare sur les étals européens, ce qui explique que beaucoup ignorent encore ses atouts nutritionnels.
Les mûres, des baies à ne pas sous-estimer
Souvent reléguées au second plan derrière les framboises ou les myrtilles, les mûres méritent pourtant d’être réhabilitées, notamment pour leur contenu intéressant en protéines. Avec environ 2 grammes de protéines pour 100 grammes, elles offrent un apport supérieur à celui de nombreuses autres baies. En plus de cela, elles sont riches en fibres, en vitamines C et K, ainsi qu’en composés antioxydants qui agissent contre le vieillissement cellulaire. Leur consommation en collation, dans un yaourt nature ou en accompagnement de flocons d’avoine constitue une excellente manière d’améliorer le profil nutritionnel de son alimentation. De plus, leur goût sucré-acidulé permet de varier les plaisirs sans alourdir les plats.
La banane séchée : concentrée en énergie et en protéines
Les fruits séchés, du fait de la concentration de leurs nutriments, affichent souvent des teneurs en protéines plus élevées que leurs versions fraîches. C’est le cas de la banane séchée qui, par portion de 100 grammes, peut contenir jusqu’à 4 grammes de protéines. Cela en fait une collation idéale pour les sportifs ou les personnes actives, qui ont besoin d’un encas nourrissant, pratique à emporter et digeste. En plus des protéines, elle fournit également du magnésium et du potassium, deux minéraux essentiels à la contraction musculaire et à la récupération. Toutefois, il convient de surveiller les apports en sucres, souvent plus concentrés dans les versions commerciales.
Les raisins secs, petites bombes nutritives
Autre fruit séché à ne pas négliger : le raisin sec. Il peut contenir jusqu’à 3 grammes de protéines pour 100 grammes , en plus d’une forte densité énergétique. Il accompagne très bien les mueslis, les salades ou même certains plats salés à consonance orientale. Bien qu’ils soient sucrés, leur richesse en antioxydants comme les polyphénols ou les flavonoïdes en fait des alliés santé si leur consommation reste raisonnable. Leurs fibres facilitent également le transit intestinal, ce qui améliore l’assimilation globale des nutriments. À noter que les raisins secs issus de cultures biologiques sans ajout de sucre ni conservateurs sont à privilégier.
Le jacquier, fruit exotique aux multiples facettes
Encore trop peu connu en Europe, le jacquier ou « jackfruit » est un fruit asiatique qui se distingue par sa texture proche de celle de la viande lorsqu’il est cuisiné jeune. Mais au-delà de son aspect trompeur, il présente aussi une très belle teneur en protéines : environ 1,7 gramme pour 100 grammes. Ce chiffre peut grimper dans sa version séchée ou en conserve selon les marques. Il est fréquemment utilisé dans des recettes véganes comme substitut à la viande grâce à sa consistance filandreuse et sa capacité à absorber les saveurs. Riche en fibres, en potassium et en vitamine B6, il se glisse parfaitement dans des plats exotiques ou des préparations maison inspirées du curry ou du chili.
[caption id=“attachment_80028” align=“aligncenter” width=“2048”] Crédits : Mullookkaaran/Wikimedia Commons[/caption]
Les abricots secs, un apport utile et savoureux
Parmi les fruits secs faciles à trouver et très appréciés, les abricots secs méritent une mention. Ils offrent jusqu’à 3,5 grammes de protéines pour 100 grammes , ce qui les place dans le haut du panier pour un fruit. Très pratiques à glisser dans une boîte à goûter ou à intégrer dans un mélange de fruits secs et oléagineux, ils ont l’avantage de ne pas contenir de sucres ajoutés lorsqu’ils sont bien choisis. Ils sont également riches en fer végétal, ce qui en fait une collation intéressante pour les personnes souffrant d’anémie ou les femmes enceintes. Leur saveur douce et leur texture moelleuse en font un plaisir facile à consommer au quotidien.
La figue sèche, entre douceur et performance
Autre fruit séché star : la figue. Non seulement elle est savoureuse, mais elle contient près de 3 grammes de protéines pour 100 grammes , un chiffre non négligeable pour un fruit. En plus de cela, elle regorge de calcium, de fibres solubles et insolubles, ainsi que d’antioxydants bénéfiques pour la digestion et la santé osseuse. Elle se prête aussi bien à une consommation en solo qu’à des associations originales avec des fromages, du miel ou des céréales complètes. Sa texture dense et son goût riche permettent de limiter les quantités tout en profitant d’un bon apport nutritionnel. Elle constitue donc une alternative intelligente aux snacks industriels trop sucrés.
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Arrêtez tout : ces erreurs qui abîment votre congélateur et vos aliments congelés que vous faites sûrement !
Lave-linge, sèche-linge, lave-vaisselle, cuisinière,frigidaire , aspirateur… Une fois arrivés dans notre quotidien, les appareils électroménagers nous rendent de fiers services. C’est plus particulièrement le cas du congélateur qui est un indispensable dans nos cuisines pour avoir toujours des glaçons sous la main, faciliter la conservation des aliments frais périssables et des aliments surgelés qui peuvent mine de rien bien nous dépanner. Toutefois, une congélation réussie répond à quelques règles. On sait par exemple qu’il faut éviter de congeler un aliment deux fois, la recongélation étant propice à la formation de bactéries. Et ce n’est pas tout ! Découvrez quelques erreurs courantes que l’on fait tous (ou presque) avec son congélateur.
1) Garder ses aliments indéfiniment
[caption id=“attachment_36823” align=“aligncenter” width=“637”] Crédits : Flickr/Steven Depolo[/caption]
Certes, le congélateur permet de conserver très longtemps les aliments congelés, mais attention aux erreurs de dates. En effet, la congélation ne fait qu’en ralentir la périssabilité. Aussi, oublier trop longtemps ces aliments n’est pas la meilleure idée sur le plan sanitaire . Rappelons aussi que la congélation altère le goût et la texture des aliments. Les y garder trop longtemps peut donc aussi altérer notre plaisir de les cuisiner ! N’hésitez donc pas à dater et identifier le contenu des contenants avant la congélation et à remonter ceux qui se trouvent au fond pour les utiliser en priorité.
Quelques durées de conservation indicatives pour un maximum de fraîcheur :
Pain et baguette : 1 mois
Fruits et légumes : environ 1 an
Poulet cru en morceaux (cuisses, filet) : 6 mois
Viande de porc, de veau ou d’agneau : 6 à 8 mois
Viande de bœuf, gibier et volaille : 8 mois
Viande hachée : 2 à 3 mois
Saucisses : 4 mois
Poisson et crustacés : 3 à 4 mois
Plats cuisinés (plats mijotés, soupes…) : 3 à 4 mois
Pâte à gâteau, pâte à crêpe, viennoiseries : 2 mois
Gâteau : 3 mois
Fromage râpé et beurre : 3 mois
2) Trop remplir le congélateur, l’une des erreurs les plus courantes
[caption id=“attachment_31616” align=“aligncenter” width=“875”] Crédits: Flickr/François Schnell[/caption]
Chaque espace dans un compartiment du réfrigérateur congélateur est précieux, car il permet de caser un maximum de denrées. Toutefois, si vous recevez une avalanche de petits pois surgelés et des plats congelés menacent de vous assommer à chaque ouverture, ce n’est pas bon signe et cela peut nuire au pouvoir de congélation de votre appareil électroménager ! Pour une efficacité maximale, ne remplissez ses compartiments qu’aux trois quarts. Cela permettra ainsi à l’ai froid de bien circuler entre vos produits surgelés. Il lui sera ainsi plus facile de maintenir la bonne température. Cela permet en outre d’avoir une meilleure visibilité lors de l’ouverture de porte. Ainsi, on évite une surconsommation en laissant tout le froid s’échapper.
3) Négliger l’entretien du congélateur
[caption id=“attachment_31617” align=“aligncenter” width=“797”] Crédits : Flickr/Muhammad Mansour[/caption]
Cette corvée nécessaire est souvent négligée (ou mal réalisée), à commencer par le simple fait de dégivrer son appareil . Or, loin de préserver le froid dans le congélateur, la glace qui s’accumule ne fait qu’augmenter la consommation électrique de cet appareil électroménager déjà très énergivore ! Alors, pensez à réaliser le dégivrage tous les six mois. Du reste, pensez aussi à jeter un oeil aux joints qui permettent la bonne isolation de l’appareil. En effet, ils peuvent avoir tendance à se déformer, craqueler, voire se casser. Nettoyez-les avec de l’eau chaude additionnée de vinaigre blanc ou d’acide citrique. Et pour les entretenir, enduisez-les de glycérine ou de vaseline s’ils sont abîmés.
4) Faire une décongélation à l’air ambiant
Décongeler les aliments sur le comptoir de la cuisine est le meilleur moyen d’y favoriser le développement des germes , notamment dans le cas de la viande . La seule exception : les aliments qui se conservent à température ambiante (pain, muffins…). La technique de décongélation la plus sécuritaire est dans le frigidaire. Et si vous avez oublié de mettre l’aliment frais au réfrigérateur, vous pouvez aussi le décongeler de manière express grâce à la fonction décongélation rapide du micro-ondes. Gardez toutefois à l’esprit que cela peut assécher l’aliment et commencer sa cuisson. Pour les plats de type lasagnes, gratins, etc., un passage au four en ajustant le temps de cuisson sera tout indiqué.
5) Utiliser le mauvais contenant ou trop le remplir
[caption id=“attachment_31615” align=“aligncenter” width=“930”] Crédits : Flickr/Taz[/caption]
Laisser les emballages de supermarché n’est pas forcément idéal étant donné qu’ils laissent passer trop d’air. Il vaut donc mieux utiliser des contenants spéciaux dédiés à la congélation. Attention toutefois avec le verre qui peut exploser à cause des écarts de température. Une fois que vous avez les bons contenants, évitez de les remplir à ras bord s’il s’agit de liquide. En effet, sous l’effet de l’expansion, votre potage ou votre sauce peuvent déformer la boîte en plastique ou faire exploser la boîte en verre.
6) Installer son congélateur au mauvais endroit parmi les erreurs les plus faciles à éviter
Il ne faut jamais installer son congélateur dans un endroit où les températures sont négatives : c’est l’une des pires erreurs que vous puissiez faire ! En effet, les endroits trop frais peuvent endommager de manière irréversible le compresseur de votre appareil. Alors, pour éviter les pannes, choisissez bien le lieu d’installation. Assurez-vous aussi si possible de ne pas l’installer vers une source de chaleur et qu’il est bien à plat.
7) Trop attendre avant de congeler ses aliments
Si vous voulez les conserver longtemps, congelez vos aliments au plus vite si vous savez que vous n’allez pas les consommer dans les jours qui suivent. Si vous congelez une viande à la limite passable, elle ne sera en effet pas plus fraîche pour autant au prétexte que vous avez décidé de la congeler ! Plus vous attendez et laissez traîner dans le frigo, moins la saveur et la fraîcheur des aliments seront préservées. Le risque sera alors plus grand de devoir tout jeter à la poubelle !
8) Mettre des aliments chauds au congélateur ou réfrigérateur : l’une des pires erreurs !
[caption id=“attachment_36958” align=“aligncenter” width=“926”] Crédits : MaxPixel[/caption]
Il est déconseillé d’ajouter trop d’aliments à la fois au congélateur au risque qu’ils fassent fluctuer sa température : c’est l’une des erreurs qui favorise la brûlure des aliments ! Il faut aussi s’assurer de la température des aliments avant l’ajout. S’ils sont tièdes ou chauds, ils augmentent drastiquement la consommation d’énergie du congélateur qui doit “turbiner” encore plus pour tout refroidir. La bonne idée ? Laisser tiédir le plat (avec possibilité de le mettre dans plusieurs petits bocaux pour l’y aider et pouvoir avoir de petites portions à décongeler pour dépanner une prochaine fois). Il faut éviter de laisser les aliments à température ambiante plus de deux heures pour empêcher une contamination par des germes pathogènes. Alors, si besoin, mettez le tout au frigo le temps que cela refroidisse bien en vue de la congélation.
En espérant que ces recommandations que vous congélateurs apprécieront vous seront également utiles !
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