Ces aliments que vous consommez sûrement rendent une crise de goutte encore bien plus douloureuse (ce sont vraiment les pires !)

Ces aliments que vous consommez sûrement rendent une crise de goutte encore bien plus douloureuse (ce sont vraiment les pires !)

Lors d’unecrise de goutte , l’organisme fait face à une augmentation du taux d’acide urique (un composant du sang issu de la dégradation des protéines) qui devient trop élevé. Or, cette maladie rhumatismale inflammatoire est malheureusement synonyme de douleurs articulaires. Cela induit en effet des dépôts indésirables de cristaux d’acide urique dans l’articulation touchée (genou, gros orteil, etc.). Et c’est en effet très douloureux pour le patient goutteux ! Si cette solution n’est pas miraculeuse, limiter sa consommation excessive de certains aliments riches en purines et acide urique peut toutefois s’avérer utile. Cela peut en effet limiter l’hyperuricémie pouvant déclencher de nouvelles crises douloureuses. Voici les aliments et habitudes alimentaires à éviter en cas de crise de goutte, en complément de votre traitement médicamenteux.

Les aliments bénéfiques à limiter fortement en cas de crise de goutte

1) Limitez votre consommation d’alcool

[caption id=“attachment_35179” align=“aligncenter” width=“765”] Crédits : Pixabay/Foundry[/caption]

Que ce soit en période de crise ou au quotidien, il est toujours conseillé aux patients atteints de goutte de limiter, voire stopper leur consommation d’alcool. Cela vaut aussi bien pour les alcools forts (rhum, vodka, gin,whisky…) que le vin ou la bière avec ou sans alcool. En effet, les boissons alcoolisées favorisent la formation d’acide urique. Cela augmente donc les risques de souffrir de crises de goutte aiguës ou de faire une récidive. La bière est notamment particulièrement riche en acide urique (environ 205 mg/300 ml). Niveau boissons, privilégiez plutôt les boissons non sucrées : eau, thé et tisanes, café… Il est important de boire beaucoup d’eau plate ou gazeuse alcalinisante riche en bicarbonate pour diminuer l’uricémie (1,5 à 2 litres d’eau par jour, par exemple de l’eau de Vichy Célestins). Cela va favoriser l’excrétion urinaire de l’acide urique accumulé.

2) Les matières grasses saturées

[caption id=“attachment_39290” align=“aligncenter” width=“802”] Crédits : Flickr/Cyclonebill[/caption]

Les matières grasses saturées dans les aliments sont liées à un risque accru de déclenchement d’une crise aiguë. À cause de ces graisses aux effets cardiovasculaires néfastes, notre organisme ne parvient pas à bien éliminer l’acide urique. Cela conduit donc à son accumulation, d’où l’important d’opter pour un régime alimentaire moins gras. En outre, une prise de poids, voire un surpoids et une hyperinsulinémie sont des facteurs de risque de goutte. En période de crise ou d’accalmie des rhumatismes, limitez la consommation de sauces industrielles et de crème fraîche grasse. Attention également au lait entier, au beurre ou encore aux fromages gras. Pour vos produits laitiers, privilégiez absolument le demi-écrémé et adoptez les fromages à moins de 20% de matières grasses.

3) Les viandes

[caption id=“attachment_30144” align=“aligncenter” width=“960”] Crédits : Pixabay/CongerDesign[/caption]

Dans les viandes et autres produits riches protéines animales (oeufs, etc.), on retrouve une forte dose d’acide urique. Cela peut atteindre 100 à 200 mg par portion de 100 g. Il faut également se rappeler que les viandes, et notamment la viande rouge, contiennent énormément de graisses saturées. Cela concerne aussi bien les viandes jeunes (veau, etc.) que les viandes grasses (mouton, etc.), les merguez et le gibier. Attention également aux viandes séchées ou fumées et aux bouillons en cubes à la viande. Au contraire, d’autres viandes comme le lapin, le poulet ou la côte de boeuf contiennent moins d’acide urique, ce qui ne signifie pas qu’il est possible d’en abuser ! Aussi, lors de la survenue d’une crise de goutte et pour prévenir les crises multiples chez les personnes prédisposées, réduisez votre consommation globale de viandes.

4) Les charcuteries et les abats

[caption id=“attachment_38060” align=“aligncenter” width=“726”] Crédits : iStock[/caption]

Les charcuteries sont riches en protéines d’origine animale. Elles sont donc également en acide urique (plus de 100 mg par portion de 100 g de charcuterie) d’autant qu’on y retrouve aussi des graisses saturées en grande quantité. Pour les abats, il faut compter pas moins d’environ 300 mg d’acide urique pour 100 g. C’est deux fois plus élevé que pour les viandes ! Par ailleurs, certains abats tels que le foie de veau ou le foie de volaille font exploser le compteur avec des teneurs tournant autour des 400 mg/100 g. Cela joue donc un rôle sur la prévalence des crises. Même en dehors des crises de goutte, il est donc déconseillé de consommer ce type d’aliments.

5) Les poissons

[caption id=“attachment_33760” align=“aligncenter” width=“937”] Crédits : Pixabay/Soscs[/caption]

Vous pensez que si les viandes sont des aliments déconseillés en cas de crise de goutte, vous pourrez les remplacer par du poisson ? Attention, car ils peuvent eux aussi augmenter l’uricémie au même titre que les viandes et abats ! C’est particulièrement vrai pour certains poissons (cabillaud, hareng, anchois, sardine). Attention notamment aux poissons gras (maquereau, truite, saumon…) : leurs matières grasses ont un effet délétère sur l’organisme. Notez en outre que les coquillages et crustacés ne sont pas plus conseillés. En effet, les fruits de mer contiennent aussi de l’acide urique. Il faut donc éviter ces aliments en cas de crise de goutte et les consommer occasionnellement en dehors.

6) Les aliments riches en fructose : mauvais aussi en cas de crise de goutte

[caption id=“attachment_55479” align=“aligncenter” width=“799”] Crédits : PikRepo[/caption]

Le sucre en excès n’est jamais bon, car il entraîne une augmentation de l’insuline qui va freiner l’élimination de l’acide urique. Toutefois, le fructose est le sucre le plus déconseillé. Lors de sa dégradation dans l’organisme, il donne en effet lieu à une production d’acide urique. C’est la raison pour laquelle les aliments qui en contiennent sont à consommer avec modération. Cela comprend le miel, les jus de fruits (notamment les plus riches en fructose comme le jus de raisin ou le jus de pomme), les confitures, les sodas et les boissons sucrées en général.

7) Certains légumes

[caption id=“attachment_28607” align=“aligncenter” width=“960”] Crédits : 821292 / Pixabay[/caption]

Heureusement, cela ne concerne pas tous les légumes ! Néanmoins, certains d’entre eux contiennent des quantités élevées d’acide urique pouvant favoriser le déclenchement d’une crise. Outre les légumes secs (les légumineuses comme les lentilles, haricots…), cela concerne aussi les jeunes pousses d’épinards, les choux-fleurs, l’oseille, les asperges ou encore les champignons.

Méfiance aussi face à certains compléments alimentaires !

Tous les compléments alimentaires, aussi naturels soient-ils, ne sont pas forcément conseillés. La spiruline et la levure de bière sont déconseillées en cas d’excès d’acide urique, car elles contiennent elles-mêmes des taux élevés.

[caption id=“attachment_78696” align=“aligncenter” width=“2048”] Crédits : iStock[/caption]

Quels sont les aliments bénéfiques en cas de crise de goutte et que manger ?

En période de crise de goutte, il est essentiel d’adopter une alimentation qui aide à réduire l’acide urique dans le sang et à calmer l’inflammation. Pour cela, privilégiez des aliments riches en eau et en antioxydants, comme les fruits frais , notamment les cerises, les fraises ou les myrtilles. Les cerises, en particulier, sont reconnues pour leur capacité à faire baisser le taux d’acide urique et à atténuer les douleurs articulaires. Les agrumes comme l’orange ou le citron peuvent également aider grâce à leur richesse en vitamine C, un nutriment qui favorise l’élimination de l’acide urique par les reins.

Les légumes verts , surtout les crucifères (chou, brocoli, épinards), les courgettes ou les haricots verts, sont très bénéfiques car ils sont pauvres en purines et riches en fibres et en minéraux. Contrairement à certaines idées reçues, les légumes riches en purines comme les asperges ou les épinards ne posent pas de problème, car leur origine végétale ne déclenche pas de crise. Par ailleurs, consommez aussi des céréales complètes (quinoa, avoine, riz brun…), des légumineuses bien tolérées (lentilles, pois chiches) et surtout de boire beaucoup d’eau pour aider les reins à filtrer l’acide urique plus efficacement.

Enfin, côté protéines, mieux vaut se tourner vers des alternatives végétales ou animales pauvres en purines. Les produits laitiers allégés (yaourt, lait écrémé, fromage blanc) ont un effet protecteur reconnu, tout comme les œufs et le tofu. En cas de crise, il est judicieux de réduire fortement la viande rouge, les abats et les fruits de mer, mais vous pouvez intégrer avec modération du poulet ou du poisson maigre. L’huile d’olive, riche en graisses mono-insaturées, peut aussi jouer un rôle anti-inflammatoire. Une alimentation apaisante, hydratante et équilibrée reste votre meilleure alliée pour raccourcir la durée des crises et espacer leur fréquence.

En complément : (re)découvrez, nos remèdes pour faire baisser vos niveaux d’acide urique .

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Aphtes à répétition ? Dentifrice, aliments, stress… ces coupables insoupçonnés que vous faites subir à votre bouche quotidiennement !

Petites, rondes, blanches et douloureuses, les aphtes sont ces lésions de la bouche qui transforment les repas et les conversations en moments pénibles. Souvent bénignes, elles n’en sont pas moins gênantes, d’autant plus quand elles se répètent sans explication claire. Or, derrière leur apparente spontanéité, se cachent des causes précises liées à nos habitudes de vie. Alimentation irritante, hygiène buccale inadaptée, stress chronique, dentifrice mal choisi, carences nutritionnelles ou frottements dus à un appareil dentaire… Autant de facteurs qui abîment la muqueuse et déclenchent ces inflammations. La bonne nouvelle, c’est qu’en les identifiant, il devient possible d’agir. Cet article décrypte les gestes et produits du quotidien qui favorisent les aphtes et vous aide à les corriger pour espacer leur apparition et soulager votre bouche durablement.

Certains aliments favorisent les ulcérations

L’alimentation joue un rôle direct sur la santé buccale. Les aliments acides, épicés ou très salés peuvent irriter les muqueuses et provoquer des ulcérations . Le vinaigre, les tomates, les agrumes, mais aussi les noix ou le chocolat sont fréquemment mis en cause. De plus, les plats trop chauds ou les aliments rugueux, comme les chips ou les croûtes de pain, peuvent provoquer des micro-blessures à l’intérieur de la bouche. Si vous êtes sujet aux aphtes, il peut être utile de noter les aliments consommés avant leur apparition. Éviter ou espacer la prise de ces produits permet souvent de limiter les récidives.

Certaines personnes déclenchent par ailleurs des aphtes après ingestion de produits contenant du gluten, des conservateurs ou des arômes artificiels à cause d’allergies et de sensibilités alimentaires. Ces intolérances discrètes, mais réelles fragilisent l’organisme de l’intérieur. Tenir un journal alimentaire est une stratégie précieuse pour repérer les déclencheurs individuels. Éliminer certains produits pendant quelques semaines, puis les réintroduire progressivement permet souvent d’identifier les coupables.

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Un dentifrice irritant peut aggraver la situation

Bien qu’efficaces contre la plaque dentaire, certaines formules de dentifrices peuvent aussi agresser la muqueuse buccale. Le coupable ? Le laurylsulfate de sodium (SLS), un agent moussant qui a tendance à dessécher les tissus. Cette sécheresse rend les gencives et les parois internes de la bouche plus sensibles aux agressions et augmente la probabilité de formation d’aphtes (en plus de donner les lèvres gercées ! ). Il est donc judicieux de choisir un dentifrice sans SLS, surtout si vous avez une bouche fragile. Préférez les versions douces, souvent étiquetées pour “bouche sensible” ou “aphtes récurrents”, pour éviter ces micro-agressions invisibles mais bien réelles.

Un appareil dentaire mal ajusté provoque des frottements

Les appareils orthodontiques, comme les bagues ou les gouttières, peuvent générer des frottements continus sur certaines zones de la bouche. Ces contacts répétés causent des microtraumatismes qui favorisent les ulcérations. Une prothèse mal positionnée ou une couronne mal fixée peut avoir le même effet. Il est essentiel de signaler à votre dentiste toute gêne ou blessure provoquée par votre matériel dentaire. En attendant une correction, l’usage de cire orthodontique peut soulager les points de pression et éviter la formation de plaies.

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Le stress affaiblit vos défenses locales et favorise donc les aphtes

Il ne s’agit pas seulement d’un mal invisible, le stress a un impact biologique concret sur votre corps , y compris votre bouche. En période de fatigue ou d’anxiété, l’organisme produit davantage de cortisol, une hormone qui peut affaiblir le système immunitaire. Résultat : la bouche devient plus vulnérable aux agressions et les aphtes apparaissent plus facilement. Intégrer des pratiques de gestion du stress dans son quotidien – méditation, activité physique régulière, sommeil réparateur – réduit non seulement les épisodes de fatigue mentale, mais aussi les douleurs buccales qui les accompagnent.

Une hygiène bucco-dentaire trop agressive est contre-productive : un terrain propice aux aphtes

Se brosser les dents trois fois par jour ne suffit pas si le geste est mal exécuté. Un brossage trop vigoureux, avec une brosse à dents aux poils durs, peut entraîner des lésions à peine visibles mais douloureuses. Ces lésions servent souvent de point d’entrée aux aphtes. Pour les éviter, privilégiez une brosse à poils souples, changez-la régulièrement et adoptez un brossage en douceur, sans pression excessive. Pensez aussi à utiliser du fil dentaire avec délicatesse, car une mauvaise manipulation peut blesser les gencives.

En outre, contrairement à l’idée reçue, l’usage quotidien de bains de bouche antiseptiques n’est pas toujours bénéfique. Certains contiennent de l’alcool ou des substances astringentes qui dessèchent les muqueuses et altèrent leur équilibre naturel. Mieux vaut privilégier des bains sans alcool et à base d’ingrédients doux, ou limiter leur usage à des périodes courtes, après un soin dentaire par exemple. En complément, boire suffisamment d’eau reste l’un des meilleurs moyens de garder une bouche saine.

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Les gestes quotidiens peuvent blesser la bouche

Une simple morsure de la joue en mâchant ou un choc avec une fourchette peut suffire à déclencher un aphte. De même, certaines habitudes anodines comme mâcher un stylo ou sucer les joues sous stress peuvent créer de petites plaies qui se transforment en ulcères. Être attentif à la manière dont on mange, parler calmement et éviter les gestes nerveux répétitifs sont des moyens simples mais efficaces pour épargner les muqueuses.

Exclure les autres causes médicales à l’origine des aphtes avec son médecin

Votre bouche est le miroir de votre assiette. Des aphtes fréquents peuvent signaler une carence nutritionnelle en fer, en zinc, en acide folique ou en vitamine B12 , tous essentiels à la régénération des cellules muqueuses. Une alimentation déséquilibrée, trop pauvre en légumes verts, légumineuses, viandes ou produits laitiers, peut entraîner ces déficiences. Un simple bilan sanguin peut faire le point et une supplémentation ciblée permet souvent de limiter les récidives. Retrouver un bon équilibre alimentaire suffit parfois à faire disparaître totalement les aphtes.

Chez certaines femmes, les aphtes surviennent par ailleurs de façon cyclique, coïncidant souvent avec les règles, une grossesse ou une prise de contraceptifs hormonaux. Ces variations hormonales influencent l’équilibre de la flore buccale et la sensibilité des muqueuses. Si cette régularité est observée, il peut être utile d’en parler à un professionnel de santé. Un suivi adapté ou un simple ajustement hormonal peut suffire à espacer les épisodes.

Enfin, dans certains cas, des aphtes fréquents ou persistants peuvent être le signe de maladies sous-jacentes, telles que la maladie cœliaque, la maladie de Crohn ou des troubles immunitaires. Si les aphtes sont récurrents, douloureux ou accompagnés d’autres symptômes, il est également essentiel de consulter un médecin pour un diagnostic approfondi.​

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Ne gardez jamais ces aliments plus de 24 h au réfrigérateur (tout le monde le fait, mais c’est l’intoxication alimentaire garantie !)

Même rangés au réfrigérateur, certains aliments ne tolèrent pas l’attente ! Leur fraîcheur, leur sécurité sanitaire ou leur qualité gustative déclinent parfois en moins de 24 heures. Viande hachée crue, poisson frais, lait non pasteurisé ou encore plats à base d’œufs crus font partie de ces produits à surveiller de près. Les garder trop longtemps peut exposer à des risques d’intoxications alimentaires, surtout si leur chaîne du froid a été rompue. D’autres aliments, sans devenir dangereux aussi vite, perdent en texture ou en saveur, ce qui les rend bien moins agréables à consommer. Pour éviter le gaspillage et protéger votre santé, mieux vaut connaître les produits les plus fragiles, comprendre pourquoi ils doivent être consommés rapidement etadapter vos habitudes de conservation en conséquence. Voici donc un tour d’horizon des aliments à ne jamais oublier trop longtemps dans votre frigo !

La viande hachée crue : un terrain propice aux bactéries

Une fois la viande hachée, elle perd sa protection naturelle contre les microbes. Chaque fibre de chair étant exposée à l’air, elle devient un milieu idéal pour la prolifération bactérienne , même à basse température. Entre Escherichia coli , salmonelle et listéria, les agents pathogènes s’y développent rapidement. Il est donc fortement recommandé de consommer la viande hachée crue dans les 24 heures suivant son achat ou sa préparation. Si vous ne pouvez pas la cuisiner immédiatement, emballez-la soigneusement et placez-la au congélateur.

Le poisson cru et les fruits de mer : des aliments ultra-périssables

Ces produits marins se détériorent très vite, même dans un frigo bien réglé. Leur forte teneur en eau et leur faible acidité en font un terrain favorable aux bactéries comme Vibrio ou Clostridium. Dès le retour des courses, il est crucial de les préparer dans la journée , sans quoi leur consommation peut devenir risquée. Pour les sushis ou les carpaccios de poisson, cette vigilance est d’autant plus importante que la cuisson, qui élimine les germes, est absente.

Le lait cru : une richesse fragile

Moins traité que le lait pasteurisé, le lait cru contient encore les micro-organismes naturellement présents dans le lait fraîchement tiré. Ces bactéries, parfois bénéfiques, peuvent aussi inclure des souches dangereuses. Ce lait doit être consommé dans les 24 heures , surtout s’il n’a pas été bouilli. Les personnes sensibles comme les enfants, les femmes enceintes ou les personnes âgées doivent être particulièrement prudentes, car ce type de lait peut transmettre des agents pathogènes difficiles à éradiquer.

Les plats faits maison à base d’œufs crus : attention !

Mousse au chocolat, tiramisu, mayonnaise … tous ces mets savoureux à base d’œufs non cuits sont extrêmement fragiles. En l’absence de cuisson, les risques liés à la salmonelle sont bien réels. Une fois préparés, ces desserts ou sauces doivent être consommés dans la journée et stockés au réfrigérateur, dans des contenants hermétiques. Toute préparation restée plus de 24 heures au frais sans être entamée doit idéalement être jetée.

Les fruits coupés : des aliments très appétissants… mais pas longtemps

Un melon tranché, une salade de fruits, une pastèque entamée… dès que la peau est retirée, ces aliments deviennent vulnérables. L’humidité et le sucre qu’ils renferment favorisent la croissance de moisissures et de bactéries. Pour profiter de leur fraîcheur, mieux vaut les consommer dans les 24 heures suivant la découpe. Emballés hermétiquement et conservés à basse température, ils gardent un peu plus longtemps leur saveur mais perdent vite leurs qualités nutritionnelles.

Les restes de plats cuisinés : pas éternels

Une soupe maison, un gratin, un curry… une fois refroidis, ces plats doivent être rangés rapidement au réfrigérateur. L’idéal est de les consommer sous 48 heures maximum. Certains ingrédients, comme les œufs, le riz ou les pommes de terre, peuvent devenir problématiques s’ils sont mal conservés. Le développement bactérien ne se voit pas toujours à l’œil nu. Mieux vaut donc éviter de conserver les restes trop longtemps, même s’ils semblent encore appétissants.

Les fromages frais : des aliments à déguster vite

Faisselle, brocciu, fromage blanc ou mozzarella font partie des produits laitiers les plus fragiles. Une fois ouverts, ces fromages doivent être consommés en 24 à 48 heures maximum , car ils s’assèchent vite et peuvent développer des bactéries responsables de troubles digestifs. Leur goût évolue également très rapidement. Emballés dans leur contenant d’origine et stockés dans la partie la plus froide du frigo, ils conservent mieux leur fraîcheur.

Les œufs durs écalés : peu de répit

Un œuf dur encore dans sa coquille se conserve bien, jusqu’à une semaine. Mais dès qu’il est écalé, sa durée de vie chute drastiquement. L’air et l’humidité du frigo accélèrent sa dégradation. Il est donc conseillé de consommer un œuf dur écalé dans les 24 heures. Pour en préserver le goût et éviter tout risque sanitaire, mieux vaut le garder dans un petit contenant fermé.

Les salades composées : un repas à la fraîcheur express

Les mélanges à base de crudités, féculents, protéines ou sauces (comme les salades de pâtes, de riz ou de pommes de terre) sont très sensibles. Leur diversité d’ingrédients favorise les fermentations, surtout s’ils contiennent des œufs, du thon, de la mayonnaise ou du fromage. Ces plats, très appréciés en été, doivent être consommés dans la journée ou le lendemain au plus tard , car leur qualité décline vite, même au frais.

Les smoothies et jus maison : des boissons très fugaces

Les boissons à base de fruits ou de légumes mixés, une fois réalisées, perdent rapidement leurs vitamines et leur saveur. L’oxydation altère leur couleur et leur goût. Ces jus doivent être bus dans les heures suivant leur préparation , ou au plus tard dans les 24 heures. Conservez-les dans une bouteille en verre bien fermée et au frais, pour limiter les effets de l’air.

La conservation des aliments : un art à peaufiner

Un réfrigérateur bien organisé prolonge la vie des aliments. Il faut veiller à ne pas surcharger les étagères , à respecter les zones de froid (la partie la plus basse étant la plus froide) et à ranger les produits les plus périssables à portée de vue. L’hygiène est également primordiale. Un nettoyage mensuel à l’eau vinaigrée et un contrôle régulier des dates permettent en effet d’éviter bien des mauvaises surprises.

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Vous mettez ces aliments dans votre compost ? Stoppez tout (sauf si vous aimez les mauvaises odeurs, les nuisibles et les composts inefficaces, voire toxiques !)

Grâce à votre bac de compostage en intérieur ou extérieur, vous pouvez créer votre propre engrais naturel. Dans cesavant mélange de déchets verts et déchets bruns , on retrouve aussi bien souvent des déchets alimentaires ainsi que des déchets ménagers . Sachet de thé sans agrafe, marc de café, coquilles d’œufs émiettées, épluchures de fruits et légumes… Les possibilités sont ici nombreuses. Néanmoins, à trop considérer votre composteur comme une deuxième poubelle, vous pourriez au final lui nuire. Ajoutés dans le compost, certains aliments peuvent en effet le déséquilibrer, mal se décomposer, favoriser les mauvaises odeurs ou encore y inviter des nuisibles. Découvrez ceux qui sont interdits de compost et ceux qui sont à ajouter en petites quantités pour le garder en bonne santé.

1) Les restes de viande ou de poisson

[caption id=“attachment_25746” align=“aligncenter” width=“942”] Crédits : Pixabay/PDPhotos[/caption]

Les restes de poisson et de viande comme les aliments cuits nécessitent des températures élevées pour une bonne décomposition. Or, c’est une condition que ne remplit pas notre bac de compostage. Par ailleurs, ce sont des aliments qui risquent d’ attirer des animaux au sein de votre compost (loirs, rats, etc.). Ils peuvent en outre favoriser les mauvaises odeurs. Il est donc conseillé d’en ajouter en toutes petites quantités. Veillez par ailleurs à bien les recouvrir sous 10 à 20 cm d’humus de manière à limiter les risques d’attirer des indésirables.

2) Les épluchures d’agrumes en trop grande quantité

[caption id=“attachment_64385” align=“aligncenter” width=“704”] Crédits : Hippopx[/caption]

En plus d’être très épaisses (donc difficiles à décomposer), les écorces de vos citrons, oranges et autres pamplemousses présentent le désavantage d’être très acides. Bien sûr, rien ne vous interdit d’en mettre de petits morceaux de temps en temps. Sachez toutefois qu’une trop grande quantité risque de déséquilibrer le pH de votre compost. De plus, ces fruits sont malheureusement fortement traités aux produits chimiques lors de la pousse et de la récolte. Ils sont donc recouverts d’agents bactéricides très nuisibles pour les micro-organismes à l’œuvre au sein de votre bac de compostage. Mieux vaut donc garder ces précieuses pelures pour donner une bonne odeur à votre vinaigre ménager !

3) Les déchets issus des produits laitiers

[caption id=“attachment_28860” align=“aligncenter” width=“960”] Crédits : Myriams-Fotos / Pixabay[/caption]

Au fil du temps, les produits laitiers risquent de macérer et libérer des odeurs infectes. Les restes de beurre, lait et autres croûtes de fromage peuvent en outre étouffer votre compost et attirer tous les parasites du coin. Pour un compost sain, mieux vaut donc éviter ces aliments ou en tout cas les limiter au maximum !

4) Les aliments à graines : méfiance dans le compost !

[caption id=“attachment_31009” align=“aligncenter” width=“960”] Crédits : Pixabay/Stevepb[/caption]

Certains aliments tels que les tomates ou encore les potirons présentent des graines qui peuvent rapidement germer au sein du bac de compostage. Méfiance donc si vous décidez de jeter des denrées qui contiennent des pépins pour éviter les mauvaises surprises !

5) Les feuilles de rhubarbe et l’ail

[caption id=“attachment_62724” align=“aligncenter” width=“1254”] Crédits : iStock[/caption]

Il vous reste des feuilles après avoir préparé une confiture ou une tarte à la rhubarbe ? Elles sont en effet toxiques et elles nous restent donc sur les bras lorsque l’on a terminé nos préparations. S’il existe de nombreuses manières de recycler et utiliser intelligemment ces feuilles , l’ajout dans le compost n’en fait absolument pas partie. En effet, ces déchets ont un fort pouvoir insecticide qui risque de nuire à votre compost. Pour la même raison, l’ail est également à éviter au compost (ou à ajouter en de faibles quantités uniquement).

6) Les matières grasses parmi les aliments mauvais pour le compost

[caption id=“attachment_64913” align=“aligncenter” width=“1024”] Crédits : iStock[/caption]

Les huiles, la mayonnaise et les matières grasses en général se décomposent difficilement à des températures basses. Par ailleurs, l’huile dans le compost peut ralentir son processus de décomposition en réduisant la circulation de l’air. C’est donc néfaste pour l’obtention d’un compost de qualité. La graisse a en outre tendance à attirer des rongeurs. Si vous ne pouvez absolument pas les porter à la déchetterie, vous pouvez en disperser sur votre tas de compost ou sur un support carboné imbibé (papier ou carton). Toutefois, faites-le en très faible quantité.

7) Attention avec les aliments difficiles à décomposer au compost

[caption id=“attachment_57240” align=“aligncenter” width=“882”] Crédits : Pikist[/caption]

Certains aliments ne sont pas à bannir du compost à proprement parler. Toutefois, il faut prendre des précautions avant de les y ajouter , sans quoi, ils ne pourront pas se dégrader correctement. C’est le cas des coquilles de fruits secs (noix, cacahuètes, etc.) ou des coquilles de fruits de mer (huîtres et moules) qui sont à broyer finement tout comme les trognons de chou.

Les coquilles d’œufs et autres épluchures de pomme de terre sont quant elles des ajouts de choix pour enrichir son futur engrais maison, mais à couper en petits morceaux pour faciliter leur décomposition. Pour ce qui est des épis de maïs, ne négligez pas l’étape du séchage avant de les réduire en miettes. Cela aidera à les amalgamer plus efficacement. Enfin, limitez les peaux d’avocats ou d’ananas, trop dures, et ajoutez le pain avec parcimonie et bien émietté pour ne pas étouffer le compost.

Rappelons qu’outre ces aliments, d’autres éléments sont à bannir du compost !

[caption id=“attachment_40437” align=“aligncenter” width=“865”] Crédits : Pixabay/Ben_Kerckx[/caption]

C’est notamment le cas des sacs en bioplastique qui sont au final peu biodégradables. Les plantes malades, bourrées de parasites (pucerons, etc.) ou mortes sont également à bannir strictement. Elles risquent en effet de contaminer votre compost, et donc le reste du jardin au moment de l’épandage. Cela concerne aussi bien sûr les mauvaises herbes montées en graines qui vont être disséminées partout dans vos espaces verts en un rien de temps. Enfin, les résidus de tonte de pelouse ou de plantes traitées aux pesticides ou aux herbicides sont à limiter au maximum.

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Parents, méfiez-vous : ces plats à base d’oeufs sont interdits aux jeunes enfants (à éviter absolument avant 5 ans !)

Les œufs sont polyvalents, faciles à préparer et riches en protéines, en vitamines et en minéraux essentiels. Pour toutes ces raisons, ils sont un ingrédient de base dans de nombreuses cuisines. Cependant, quand il s’agit de nourrir nos tout-petits, il est important d’être attentif aux règles de sécurité alimentaire. Ils ont en effet des besoins nutritionnels spécifiques qui peuvent influencer leur régime alimentaire. On sait que lespetits de moins d’un an ne peuvent pas consommer de miel , mais il y a à ce titre aussi certaines recettes à base d’œufs que les parents devraient éviter de donner aux enfants de moins de cinq ans. Découvrez les raisons pour lesquelles certaines préparations à base d’œufs peuvent ne pas convenir aux jeunes enfants ainsi que les recettes à éviter.

Pourquoi éviter les oeufs chez les enfants de moins de cinq ans ?

[caption id=“attachment_23358” align=“aligncenter” width=“1080”] Crédits : Pixabay/MelanieFHardy[/caption]

Il est essentiel d’éviter les œufs crus et les plats à base d’œufs mal cuits chez les jeunes enfants en raison du risque de contamination bactérienne, notamment par la salmonelle. Le système immunitaire des tout-petits n’est en effet pas encore pleinement développé. Cela les rend ainsi plus vulnérables aux infections alimentaires. Les œufs crus ou insuffisamment cuits pouvant contenir des bactéries nocives, ils risquent ainsi d’entraîner des symptômes graves tels que des diarrhées, des vomissements et de la fièvre chez les enfants en bas âge. La cuisson complète des œufs à au moins 74 °C est cruciale pour réduire ces risques au maximum.

Sur sa plateforme Manger Bouger , Santé publique France ne recommande pas les plats à base d’oeuf cru avant trois ans. Cependant, beaucoup de pays les déconseillent jusqu’à cinq ans. Cela implique de donner des oeufs bien cuits et bien sûr en portions limitées et bien découpées. Mais de quels plats faut-il se méfier, que ce soit dans les recettes maison ou du supermarché ?

Quelles sont les recettes à base d’oeufs à éviter chez les jeunes enfants ?

[caption id=“attachment_24010” align=“aligncenter” width=“771”] Crédits : Flickr/Michael Matuzak[/caption]

Les pâtes à la carbonara

Bien sûr, si vous les faites à la française, les risques sont plus modérés. Toutefois, si vous suivez la recette traditionnelle à base de pecorino et de guanciale, cela ne vous aura pas échappé que l’on fait impasse sur la crème fraîche… au profit d’un oeuf cru mélangé aux pâtes chaudes ! Si vous tentez cette recette, attention donc de ne pas en donner aux tout-petits.

La mousse au chocolat

Là encore, la recette traditionnelle implique l’utilisation d’oeufs crus. On va en effet mélanger les jaunes d’oeufs crus avec du sucre, puis y incorporer du blanc d’oeuf, tout aussi cru et battu en neige, pour lui apporter sa légèreté et son côté aérien. Cela ne conviendra donc pas aux plus jeunes.

La mayonnaise

Gare à la mayonnaise maison ou achetée à base d’oeufs crus qui peut occasionner de réels problèmes chez les plus petits. Si vous le souhaitez, vous pouvez toutefois trouver des alternatives sans oeufs ou même concocter une version pasteurisée pour obtenir une sauce gourmande et sûre pour vos jeunes épicuriens.

Les oeufs à la coque ou au plat : pas pour les jeunes enfants

Beaucoup d’amateurs d’oeufs ont plaisir à dévorer le jaune coulant à souhait d’un oeuf mollet, d’un oeuf à la coque ou d’un oeuf au plat ! Néanmoins, qui dit “coulant” dit aussi “insuffisamment cuit pour les plus petits”. Mieux vaut donc en rester aux oeufs durs au début… De plus, la texture molle d’un oeuf poché ou peu cuit peut favoriser les risques d’étouffement.

Le tiramisu

Ce dessert italien qui fait chavirer le coeur des plus gourmands se réalise avec du jaune d’oeuf non cuit. Vos petits bouts devront donc malheureusement attendre avant de découvrir cette douceur fondante au dessert.

D’autres exemples à base d’oeufs à éviter pour les enfants…

Quant on fait des gâteaux, il faut éviter de faire goûter aux plus petits la pâte à biscuits crue qui contient des microbes nocifs pour leurs défenses immunitaires vulnérables. Attention aussi aux omelettes épicées ou relevées. Ils ont en effet souvent une forte sensibilité au goût et les recettes à l’oeuf piquantes peuvent ne pas être adaptées à leur palais délicat. Enfin, attention aussi aux plats à base d’œufs trop riches en sel ou en sucre. Privilégiez toujours des préparations à base d’œufs plus simples et sûres comme les œufs brouillés bien cuits, les œufs durs ou les quiches légères en sel et en sucre. Pour les plus jeunes, surveillez aussi de près la texture et la taille des morceaux pour éviter tout risque d’étouffement.

Y a-t-il d’autres aliments à donner aux enfants avec précaution ?

[caption id=“attachment_25746” align=“aligncenter” width=“942”] Crédits : Pixabay/PDPhotos[/caption]

Au même titre que les oeufs, d’autres aliments exposent les enfants à des risques de contracter une salmonellose ou une intoxication alimentaire. C’est notamment le cas avec la viande crue ou peu cuite et les produits laitiers à base de lait cru , notamment les fromages. Il convient également de se méfier du poisson ou des coquillages crus ou insuffisamment cuits. Bref, une bonne cuisson est toujours de mise pour les plus jeunes. Enfin, attention aussi aux graines germées qui peuvent contenir la salmonelle.

En cas de doute sur l’alimentation des jeunes enfants, demandez conseil à un professionnel de la santé (pédiatre ou nutritionniste) qui saura vous donner des conseils spécifiques adaptés à votre enfant.

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Dites enfin adieu à la cigarette : ces aliments qui rendent le tabac dégoûtant et coupent l’envie de fumer (et ça fonctionne vraiment !)

Arrêter de fumer n’est jamais une démarche anodine. Entre les fluctuations d’humeur, les envies irrépressibles de nicotine etla peur de prendre du poids , le chemin peut paraître semé d’embûches. Pourtant, votre assiette peut devenir une alliée insoupçonnée dans cette lutte contre le tabac. Certains aliments ne se contentent pas de combler les carences nutritionnelles laissées par des années de tabagisme, ils peuvent aussi influencer votre humeur, diminuer vos envies de cigarette et même rendre le goût du tabac désagréable. Adapter son alimentation durant cette période de sevrage ne relève donc pas du simple confort mais d’une stratégie globale pour maximiser vos chances de succès à condition de savoir quoi privilégier et à quel moment. En effet, manger mieux peut réellement vous aider à fumer moins… et finir par ne plus fumer du tout !

Les aliments riches en vitamine C : un soutien essentiel pour votre organisme

Le tabac puise dans les réserves de vitamine C à grande vitesse, fragilisant vos défenses naturelles. Ce déficit est d’autant plus problématique que la vitamine C participe à la réparation cellulaire et à la lutte contre les toxines. En arrêtant de fumer, votre corps en redemande. Miser sur des agrumes, du kiwi, du persil frais, des poivrons rouges ou du brocoli permet de reconstituer efficacement ces réserves. Ce coup de pouce antioxydant est précieux pour aider votre organisme à évacuer les résidus de nicotine et à retrouver un meilleur équilibre immunitaire.

Le rôle clé des fibres dans la gestion de l’appétit

Lorsqu’on cesse de fumer, l’envie de compenser par la nourriture est fréquente. Les fibres jouent ici un rôle crucial. Présentes dans les légumes secs, les fruits frais, les légumes verts et les céréales complètes, elles procurent une sensation de satiété durable. Cela permet de limiter les fringales qui apparaissent souvent en remplacement du geste de fumer. De plus, elles favorisent un bon transit, souvent perturbé au moment du sevrage, et aident à réguler les variations de la glycémie, qui peuvent influencer vos humeurs.

[caption id=“attachment_70955” align=“aligncenter” width=“1288”] Crédits : iStock[/caption]

Le tryptophane pour apaiser les nerfs sans allumer une cigarette

Le sevrage tabagique s’accompagne souvent d’une certaine nervosité. Cette tension est due en partie à une baisse de sérotonine, l’hormone du bien-être. Or, le tryptophane, un acide aminé que l’on retrouve dans certains aliments, sert justement à produire cette hormone. Il est présent dans les œufs, les produits laitiers, les noix, les graines de courge, le poisson ou la volaille. Consommer ces aliments peut donc favoriser un état émotionnel plus stable , réduire l’irritabilité et faciliter l’endormissement.

Les oméga-3 pour stabiliser l’humeur et soutenir le cœur

Les oméga-3 ne sont pas uniquement bons pour le cerveau : ils jouent aussi un rôle majeur dans la régulation de l’humeur et la lutte contre l’inflammation. Durant le sevrage, intégrer des aliments comme le saumon, les sardines, les graines de lin ou les noix dans votre alimentation peut atténuer les symptômes anxieux. De plus, ces acides gras essentiels contribuent à la santé cardiovasculaire, souvent mise à mal par des années de tabagisme.

Ces saveurs qui vous détournent de la cigarette

Certains aliments ont la particularité de modifier la perception gustative du tabac. Par exemple, les légumes amers comme le chou, le brocoli, l’endive ou le radis noir peuvent altérer le goût de la cigarette et la rendre moins plaisante. Il en va de même pour le thé vert, qui laisse une amertume persistante en bouche. Ces aliments aident à rompre l’association plaisir-cigarette , surtout lorsqu’ils sont consommés avant les moments où l’envie est la plus forte.

Les aliments à consommer avant de fumer pour dégoûter du tabac

Manger certains aliments juste avant de fumer peut altérer votre expérience sensorielle et réduire l’attrait de la cigarette. Le lait, les yaourts natures et certains légumes comme le céleri, les carottes ou le concombre laissent un arrière-goût qui rend le tabac moins agréable. Ce phénomène, bien qu’assez subtil, agit comme un frein psychologique , surtout chez les fumeurs sensibles au goût ou aux textures en bouche. Répéter ce type d’association peut à terme créer un dégoût réflexe.

Miser sur les protéines pour garder le cap

La nicotine a un effet coupe-faim. Une fois cette molécule disparue, l’appétit revient en force, ce qui peut conduire à des prises alimentaires excessives. Pour éviter cet écueil, consommer des protéines à chaque repas permet de réguler les pics de faim. Œufs, viandes maigres, poisson, tofu, légumineuses et laitages apportent une satiété durable et aident aussi à maintenir une masse musculaire correcte, importante pour préserver un bon métabolisme de base.

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Les jus de fruits frais pour combler les manques

En plus de leur teneur en vitamine C, les jus de fruits 100 % naturels apportent une douceur sucrée qui peut compenser les envies orales liées à la cigarette. L’orange, le pamplemousse ou la mangue sont de bons choix. Ces boissons permettent également d’hydrater le corps et de faciliter l’élimination des toxines. Toutefois, il convient de ne pas en abuser pour éviter l’excès de sucre. L’idéal est de les consommer au petit-déjeuner ou lors des moments critiques de la journée.

Le thé vert pour nettoyer et apaiser

Riche en antioxydants, le thé vert agit comme un purifiant naturel. Il soutient le foie, l’organe chargé de l’élimination des déchets, tout en ayant un effet légèrement stimulant sans créer d’addiction. Siroté lentement, il peut occuper les mains et l’esprit au moment où l’envie de fumer surgit. Il existe également des infusions apaisantes à base de plantes comme la camomille, la valériane ou la passiflore, utiles en cas de tensions liées au sevrage.

L’eau citronnée : un geste simple pour aller mieux

Boire de l’eau citronnée est une habitude simple et efficace pour accompagner l’arrêt du tabac . Le citron favorise la digestion, apporte un apport en vitamine C supplémentaire et son goût acidulé peut couper les envies soudaines de cigarette. En buvant régulièrement de l’eau tout au long de la journée, vous luttez aussi contre la déshydratation, fréquente lors du sevrage, et vous offrez à votre corps un environnement optimal pour se régénérer.

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Ces aliments insoupçonnés que tout le monde consomme aggravent réellement l’hypertension (à ajouter à votre liste noire d’urgence !)

Une tension artérielle élevée, également connue sous le nom d’hypertension artérielle (HTA), peut avoir des conséquences graves sur la santé. Présent chez un Français sur trois (dont certains sans le savoir), celui que l’on nomme le “tueur silencieux” occasionne des dommages progressifs aux organes vitaux. Avant même d’opter pour des médicaments, il est cependant heureusement possible de normaliser sa tension en améliorant certains facteurs liés à votre mode de vie, y compris votre alimentation. Sicertains aliments peuvent aider à maintenir une tension artérielle saine , d’autres se révèlent en effet plus néfastes. Ces aliments ne sont évidemment pas nécessairement nuisibles en petites quantités, mais leur surconsommation régulière peut entraîner des problèmes de santé à long terme. Voici donc comment faire des choix alimentaires plus éclairés pour garder une bonne santé cardiovasculaire.

Quels aliments augmentent l’hypertension ?

Pour beaucoup d’hypertendus, les premiers efforts visent à réduire l’utilisation de sel en cuisine pour rester sous la barre des 6 g/jour conseillée. Il est alors possible de cuisiner avec des agrumes, des épices et des herbes (curry, persil, curcuma, etc.) pour rehausser la saveur des plats sans sels ajoutés . Certains patients optent également pour le régime DASH qui prône une alimentation pauvre en sel et riche en légumes verts assez proche du régime méditerranéen. Toutefois, cela ne suffit pas toujours. En effet, les aliments hypertenseurs sont présents partout dans notre régime alimentaire. Parfois, ils sont en outre pour le moins insoupçonnés. Voici donc les aliments à consommer avec modération si vous souffrez d’une pression trop élevée dans vos vaisseaux sanguins.

1) La réglisse

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Amateurs de bonbons à la réglisse ou de tisanes contre les maux de gorge, attention ! En effet, l’acide glycyrrhizique présent dans la racine de cette plante a pour effet de réduire votre taux de potassium. Ce faisant, vous serez plus sujets à la rétention d’eau et votre tension risque de grimper.

2) L’alcool

Réduire les boissons alcoolisées compte parmi les premiers conseils donnés pour faire face à l’hypertension. Même si les quantités limites sont mal connues, on conseille généralement de ne pas dépasser deux verres d’alcool pour les femmes et trois pour les hommes. Le mieux reste cependant évidemment de cesser toute consommation.

3) Le pain

[caption id=“attachment_26116” align=“aligncenter” width=“960”] Crédits : congerdesign / Pixabay[/caption]

Les Français et le pain vivent une grande histoire d’amour. Malheureusement, il fait partie de ces aliments très salés peu recommandés en cas d’hypertension. En effet, il représente à lui seul autour de 7 % de notre apport en sel quotidien. Si vous ne pouvez pas vous en passer, privilégiez les pains sans sel ou à minima du pain complet, de seigle ou au levain qui ont le mérite d’avoir plus de saveur. Dans tous les cas, évitez d’en consommer à tous les repas.

4) Le jus de pamplemousse

La FDA, l’administration américaine responsable de la protection et de la promotion de la santé publique par le contrôle et la supervision de la sécurité alimentaire, a longtemps alerté sur les risques liés au pamplemousse. Cet aliment peut en effet entrer en interaction avec certains médicaments , et notamment ceux utilisés contre une tension artérielle trop élevée (à commencer par la nifédipine). Son jus peut aussi augmenter les effets secondaires de ces traitements.

5) Les condiments

Au rayon condiments, de nombreux aliments peuvent augmenter une hypertension déjà élevée. C’est le cas aussi bien pour les bouillons en cubes ou la sauce soja et moutarde que pour les cornichons, câpres ou anchois en purée. Tous contiennent en effet une forte dose de sodium. Mieux vaut donc opter pour des recettes de bouillons cubes à faire soi-même et des condiments à base de légumes maison.

6) Les plats surgelés ou industriels : des aliments ennemis en cas d’hypertension

[caption id=“attachment_72533” align=“aligncenter” width=“1261”] Crédits : iStock[/caption]

S’ils brillent par leur praticité et le gain de temps qu’ils permettent, les plats surgelés comme les plats industriels ne nous font pas gagner en espérance de vie. Ils sont en effet riches en sucres, en matières grasses et en sels. Ils peuvent donc rapidement faire exploser vos compteurs de sodium et vous exposer à des effets néfastes pour votre santé. Mention spéciale pour les soupes industrielles, pauvres en fibres, mais bourrées de sel en comparaison des préparations maison (même si les recettes s’améliorent !).

Pour contrôler la qualité des ingrédients comme la quantité, le fait maison reste l’option la plus sûre , surtout pour des patients à la santé fragile. Le batch cooking (préparer ses ingrédients à l’avance) et le meal prep (préparation de plats à l’avance) peuvent heureusement permettre de gagner du temps pour préparer de bons petits plats. Pour un dépannage occasionnel, vérifiez bien l’étiquette de vos plats tout prêts.

7) La charcuterie

En plus d’être trop gras, notre encas préféré au moment de l’apéritif est également beaucoup trop salé. Mieux vaut donc consommer le jambon, le saucisson, le salami et le cervelas en petites quantités et pour des occasions spéciales. Envie de saumon fumé et de maquereaux en boîte pour compléter le plateau d’apéro ? Dans ce cas, privilégiez plutôt du saumon frais ou mariné ainsi que du maquereau grillé pour ne pas faire grimper votre tension.

8) Le fromage : à bien choisir quand on a une tension élevée

Tous les fromages ne se valent pas et n’affichent pas le même taux de sel. En effet, la teneur en sel sera très élevée dans l’halloumi, la feta, l’edam, les fromages à pâte persillée (Bleu d’Auvergne ou Roquefort) ainsi que les fromages à pâte fondue (à l’instar des tranches pour burger). Pour se préserver et se faire un petit plaisir, les hypertendus fans de fromage peuvent en revanche acheter de la mozzarella, de la ricotta, du parmesan ou encore de l’emmental !

9) Les aliments fermentés à bien choisir en cas d’hypertension

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Les aliments fermentés sont généralement réputés pour être bons pour notre santé, et notamment pour notre microbiote. Néanmoins, la saumure permettant leur conservation est bien souvent très riche en sodium. C’est le cas avec les cornichons, mais aussi bien d’autres. Pour ne pas faire grimper votre hypertension artérielle, préférez les marinades à base d’agrumes ou de vinaigre. Elles apporteront une délicieuse saveur acidulée, mais contiennent surtout beaucoup moins de sel.

Outre l’alimentation (avec de meilleurs choix d’aliments), que peut-on faire face à l’hypertension ?

En plus d’adopter une alimentation saine et variée sans consommation excessive de sel, vous pouvez suivre certaines recommandations pour faire face à une tension anormalement élevée. Cela inclut des mesures comme :

  • Maintenir un poids santé , car un excès de poids peut exercer une pression supplémentaire sur le cœur et les vaisseaux sanguins. En cas de surcharge pondérale ou d’obésité, il est fortement conseillé de perdre du poids.
  • Faire de l’exercice régulièrement. L’activité physique régulière aide en effet à réduire la tension artérielle.
    -Le stress chronique peut contribuer à l’augmentation de la tension artérielle. Essayez donc des techniques de gestion du stress telles que la méditation, la respiration profonde, le yoga ou la relaxation.
    -Le tabagisme est un facteur de risque majeur pour l’hypertension et les maladies cardiovasculaires, essayez d’ arrêter de fumer ou évitez de commencer.

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Et bien sûr, il est essentiel de consulter un médecin pour permettre un suivi régulier de vossymptômes et de votre tension. Votre professionnel de la santé est le plus à même de vous conseiller, d’évaluer votre état de santé et de vous prescrire des médicaments si nécessaire.

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Le secret des centenaires des zones bleues enfin révélé : ce qu’ils mangent, boivent et font tous les jours (à copier pour vivre vieux sans maladie !)

Elles intriguent les scientifiques depuis des années : les zones bleues sont ces régions du monde où les habitants vivent non seulement plus longtemps, mais aussi en meilleure santé etplus épanouis . D’Okinawa au Japon à l’île d’Ikaria en Grèce, en passant par la Sardaigne ou la péninsule de Nicoya au Costa Rica, ces territoires concentrent un nombre impressionnant de centenaires actifs, autonomes et épanouis. Leur secret ne réside pas dans des gènes exceptionnels, mais dans un mode de vie simple, souvent ancestral. Alimentation naturelle, activité physique douce, mais constante, liens sociaux forts, rythme de vie apaisé… Ces piliers du quotidien forment un socle sur lequel chacun peut s’inspirer. Et si vous adoptiez, vous aussi, les habitudes de ces centenaires pour vivre mieux, plus longtemps, et en pleine forme ? Voici ce qu’il faut savoir.

L’alimentation des zones bleues et de leurs centenaires : locale, végétale et frugale

Dans toutes les zones bleues, l’assiette joue un rôle central. Elle n’est jamais ultra-transformée ni trop riche. Les habitants privilégient des aliments simples, issus de leur environnement immédiat , souvent cultivés dans leur propre jardin ou achetés localement. À Loma Linda, en Californie, la majorité suit un régime végétarien à base de légumes, légumineuses, noix et fruits. En Sardaigne, le pain complet au levain, les pois chiches, les haricots ou les pommes de terre composent le repas quotidien, accompagnés d’un peu de fromage de brebis.

La viande s’y consomme par ailleurs avec parcimonie , en moyenne cinq fois par mois. L’alcool, quand il est présent, l’est en outre avec modération, souvent sous forme de vin rouge naturel, partagé au cours d’un repas. Autre point commun : les repas sont pris lentement, en famille, dans une atmosphère détendue. Manger devient un rituel, jamais un acte pressé.

Bouger sans y penser : une activité naturelle chez les centenaires

Les centenaires des zones bleues ne vont pas tous à la salle de sport, et pourtant, ils sont physiquement actifs toute leur vie. Leurs journées sont rythmées par des gestes simples, mais répétitifs : marcher pour aller faire ses courses, jardiner, balayer, grimper quelques marches, porter du bois… Cette activité modérée, mais constante stimule muscles et cœur sans provoquer de stress physique excessif. À Ikaria, on grimpe à pied les rues en pente, on cueille les plantes médicinales, on danse lors des fêtes locales. Ces mouvements intégrés au quotidien sont bien plus efficaces qu’une heure de sport assise entre deux journées passives.

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Un rapport apaisé au temps et au stress

Le stress chronique est rare dans les zones bleues. Les habitants y cultivent un rapport au temps beaucoup plus détendu. À Okinawa, on pratique l’« ikigai », l’idée d’avoir une raison de se lever le matin, un but personnel ou collectif qui donne du sens à la vie. Les routines incluent des moments de repos : sieste en Sardaigne, prière ou méditation en Californie, temps de calme dans la nature au Costa Rica. Ces pauses ne sont jamais perçues comme inutiles, au contraire, elles sont vues comme essentielles pour rééquilibrer le corps et l’esprit.

Des relations humaines fortes et durables chez ces centenaires

Un autre secret de longévité tient à la richesse des liens sociaux. Dans toutes les zones bleues, le sentiment d’appartenance est fort. Les personnes âgées sont valorisées, mais aussi intégrées à la vie familiale et communautaire. Elles ne sont ni isolées ni délaissées. À Okinawa, les habitants forment par exemple des « moai », des petits groupes de soutien social qui s’accompagnent toute la vie. En Sardaigne, plusieurs générations vivent parfois sous le même toit, et les repas rassemblent souvent famille et voisins. Ces liens chaleureux protègent ainsi contre la solitude et favorisent une meilleure santé mentale , elle-même corrélée à une longévité accrue.

Des remèdes naturels issus de la terre

Les habitants des zones bleues se soignent souvent avec ce que leur offre la nature. Plantes médicinales, tisanes, cataplasmes… font en effet partie du quotidien. À Ikaria, on consomme du thé de montagne (riche en antioxydants), du romarin ou de la sauge pour leurs vertus digestives et apaisantes. À Okinawa, l’alimentation est très riche en curcuma, en patate douce violette et en légumes à feuilles aux propriétés anti-inflammatoires. Cette pharmacopée naturelle s’intègre aux repas ou s’utilise en prévention , selon des savoir-faire transmis de génération en génération. Plutôt que de multiplier les compléments alimentaires, ces populations misent donc sur des aliments fonctionnels et des gestes simples pour préserver leur santé.

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Des zones bleues avec un cadre de vie en harmonie avec la nature

La nature n’est jamais loin. Elle est respectée, fréquentée quotidiennement ainsi qu’observée avec gratitude. Les centenaires vivent dans des environnements à taille humaine, peu pollués et souvent calmes , où les rythmes de la nature influencent encore les activités. La lumière du soleil, l’air pur, les sons de la forêt ou de la mer… tout cela contribue à réduire le stress, améliorer le sommeil et réguler les fonctions vitales. Jardiner, marcher pieds nus, cueillir des herbes, regarder les saisons passer : ces pratiques simples et apaisantes créent en effet un lien puissant entre l’humain et son environnement qui participe à l’équilibre global de leur santé.

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