Arthur (la) malédiction de Luc Besson ou la disparition de la classe moyenne du cinéma
Le barbu d’Écran large appelle ça « les films du milieu ». Pas inintéressant. Il étrille ici avec talent – et probablement quelque produit accélérateur de flux de parole – la dernière production de Luc Besson. On ne va pas charger la mule du Besson, qui sort d’une série de non-lieux dans son affaire de « viol » avec « l’actrice » et ex-amie Sand Van Roy, défendue par Me Szpiner. Quand Wikipédia raconte que le patron d’Europacorp revient au cinéma en annonçant « qu’il a écrit et produit Arthur, malédiction, - Juillet / Sociologie , People , Opinions , Culture , Cinéma