Jeanne d'Arc 02 : La couronne de feu - Michel Peyramaure

Jeanne d'Arc 02 : La couronne de feu - Michel Peyramaure

En quelques mois de l’an 1429, Jeanne a renversé le cours de l’histoire de France et arrêté les Anglais sur la Loire. Charles VII, ce “gentil dauphin” qui lui doit son trône, tergiverse et hésite à marcher sur Paris. Sous les murs de Compiègne, la Pucelle est capturée par les Bourguignons qui la vendent à l’occupant.
Commence alors son martyre, sa “passion”, qui, de cachot en forteresse, la mènera sur le bûcher de la place du Vieux-Marché à Rouen après une horrible détention et un procès scandaleux face à l’Inquisition. Le mot de la fin, prophétique, reviendra au soldat anglais qui s’écriera : “Nous sommes perdus. Nous avons brûlé une sainte !”

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Jeanne d’Arc 01 : Et Dieu donnera la victoire - Michel Peyramaure

Un mot de l’éditeur

“Aujourd’hui comme hier, pour tous, de l’extrême Occident à l’Extrême-Orient, Jeanne est la plus fascinante en même temps que la plus pure de toutes les figures de libération.” Régine Pernoud.

Quatrième de couverture

Jeanne est née en 1412, elle n’a donc que dix-sept ans lorsque, ayant persuadé le seigneur de Vaucouleurs de sa “mission”, elle part pour Chinon en février 1429. Son enfance et son adolescence, elle les a passées à Domrémy, dans le Barrois, territoire relevant de la couronne de France bien que situé dans le domaine anglais.

C’est là qu’elle entend les “voix” de ses “frères du Paradis”… Puis c’est la rencontre avec le dauphin Charles qu’elle conquiert malgré le scepticisme des conseillers, mais soutenue en secret par la reine Yolande d’Aragon, belle-mère du dauphin. Le 8 mai 1429, elle délivre Orléans. Opérations en Val de Loire, en Beauce et en Champagne, jusqu’au sacre à Reims, le 17 juillet 1429… Orléans, Reims : elle a réalisé en quatre mois, les deux premiers points de sa “mission”.

Ne fut-elle que l’instrument d’une politique ? Dans son roman, Peyramaure met en avant le personnage de Yolande d’Aragon, comtesse d’Anjou et reine de Sicile. Forte tête politique qui avait marié sa fille Marie au dauphin Charles (futur Charles VII). Ce serait elle qui aurait agi secrètement pour faire venir Jeanne à Chinon et aurait organisé les rencontres utiles. Dans ses propres intérêts… Pour les historiens, ce n’est qu’une hypothèse : aucun document ne l’assure. De toute façon, le mystère demeure : pourquoi avoir jeté son dévolu sur cette gamine de Domrémy ?

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